Photographies
Précédé de «Sur une manipulation courante (mémoire d'un dysmorphophobe)»
Collection Albums Beaux Livres
Gallimard
Parution
Dès 1977, date de la publication de son premier livre La Mort Propagande, Hervé Guibert a manifesté son intérêt pour la photographie. Il commence la même année sa collaboration au journal Le Monde, avec des critiques de photographie et de cinéma, qu'il poursuivra jusqu'en 1985. Les premières photos de ses grand-tantes sont prises en 1978 et donneront un roman-photo Suzanne et Louise, publié en 1980. En 1981, il publie Le Seul Visage, catalogue d'une exposition à la galerie Agathe Gaillard, aux Éditions de Minuit, puis il continue à prendre des photos, parallèlement à son œuvre littéraire. Hervé Guibert publie notamment sept livres chez Gallimard, jusqu'à sa mort le 27 décembre 1991, à l'âge de trente-six ans.
Cet ouvrage représente en quelque sorte les meilleures photographies d'Hervé Guibert, le livre de ses photos, cent vingt-trois exactement, qui ont été choisies par Christine Guibert, Agathe Gaillard, Hans-Georg Berger et Jacques Maillot. Vingt-cinq ont été empruntées au Seul Visage, avec l'aimable autorisation de Jérôme Lindon.
On ne peut s'empêcher de penser que ces photographies sans concession, toutes en noir et blanc, sont souvent l'écho ou le contrepoint de l'œuvre littéraire d'Hervé Guibert, lui qui a mis beaucoup de sa vie dans ses livres.
Cet ouvrage représente en quelque sorte les meilleures photographies d'Hervé Guibert, le livre de ses photos, cent vingt-trois exactement, qui ont été choisies par Christine Guibert, Agathe Gaillard, Hans-Georg Berger et Jacques Maillot. Vingt-cinq ont été empruntées au Seul Visage, avec l'aimable autorisation de Jérôme Lindon.
On ne peut s'empêcher de penser que ces photographies sans concession, toutes en noir et blanc, sont souvent l'écho ou le contrepoint de l'œuvre littéraire d'Hervé Guibert, lui qui a mis beaucoup de sa vie dans ses livres.