Un récit photographique
. «La fleur de l'âge», le film maudit de Marcel Carné et Jacques Prévert, texte de Carole Aurouet
Suivi de Savitry est peintre, texte de Sophie Malexis
Collection Albums Beaux Livres
Gallimard
Parution
Les malédictions au cinéma sont heureusement rares… et célèbres (L’Enfer de Clouzot, Don Quichotte d’Orson Welles). On sait peut-être moins que Marcel Carné et Jacques Prévert rencontrèrent également leur film maudit : La Fleur de l’âge.
Malgré la présence de Reggiani, d’Arletty, de Paul Meurisse et d’Anouk Aimée, le climat, l’étalement du projet de 1936 à 1947 – une guerre mondiale entre ces deux dates – des accidents – dont la mort d’un chien –, trop de phénomènes décidément allaient se conjuguer contre ce film, avec comme point d’orgue la perte des bobines, ne laissant ainsi, semble-t-il plus aucune trace de ce tournage!
Jusqu’à ce que l’on retrouve le travail d’une personnalité étonnante : Émile Savitry, peintre, encouragé par Aragon, puis photographe, proche de Brassaï, il officia sur La Fleur de l'âge comme photographe de tournage.
Cet ouvrage vous projette au cœur de l’histoire d’un film hélas inachevé, et dans l’œuvre d’un photographe humaniste empreinte de réalisme poétique.
Malgré la présence de Reggiani, d’Arletty, de Paul Meurisse et d’Anouk Aimée, le climat, l’étalement du projet de 1936 à 1947 – une guerre mondiale entre ces deux dates – des accidents – dont la mort d’un chien –, trop de phénomènes décidément allaient se conjuguer contre ce film, avec comme point d’orgue la perte des bobines, ne laissant ainsi, semble-t-il plus aucune trace de ce tournage!
Jusqu’à ce que l’on retrouve le travail d’une personnalité étonnante : Émile Savitry, peintre, encouragé par Aragon, puis photographe, proche de Brassaï, il officia sur La Fleur de l'âge comme photographe de tournage.
Cet ouvrage vous projette au cœur de l’histoire d’un film hélas inachevé, et dans l’œuvre d’un photographe humaniste empreinte de réalisme poétique.