La société de déconsommation
. La révolution du vivre mieux en consommant moins
Préface de Dominique Bourg
Parution
En France, la consommation représente 55 % du PIB, l’essentiel des dépenses des ménages, mais aussi une source de plaisir et de distinction sociale. Mais la société de consommation occupera-t-elle toujours autant de place dans nos vies à l’avenir ? En effet, les consommateurs se rendent de plus en plus compte que le rêve du «toujours plus» a une contrepartie : des dépenses croissantes et des impacts environnementaux, sanitaires et sociaux majeurs. Cette prise de conscience, amplifiée par la crise sanitaire, entraîne une défiance croissante envers les produits et les entreprises qui les commercialisent.
En réponse, un nouvel idéal émerge, celui d’une consommation « responsable ». Derrière ce terme générique sont regroupées des pratiques très différentes, dont certaines conduisent à repenser radicalement notre rapport à la consommation, voire à nous en libérer.
Cet ouvrage propose de faire le point sur ces pratiques et identifie différentes étapes pour aller du toujours plus au toujours moins et mieux. Mais il en analyse aussi les limites : déceptions, émergence d’une nouvelle « charge écologique » pour les mères de famille, voire burn-out pour certains des plus convaincus. Ces pratiques amènent en tout cas à s’interroger sur la place que la consommation pourrait à l’avenir occuper dans nos sociétés : quels imaginaires et modèles alternatifs mettre en place, quel rôle assigner aux pouvoirs publics et aux entreprises pour que les consommateurs de demain puissent enfin conjuguer au mieux nécessités économiques, préoccupations environnementales et aspirations personnelles ?
En réponse, un nouvel idéal émerge, celui d’une consommation « responsable ». Derrière ce terme générique sont regroupées des pratiques très différentes, dont certaines conduisent à repenser radicalement notre rapport à la consommation, voire à nous en libérer.
Cet ouvrage propose de faire le point sur ces pratiques et identifie différentes étapes pour aller du toujours plus au toujours moins et mieux. Mais il en analyse aussi les limites : déceptions, émergence d’une nouvelle « charge écologique » pour les mères de famille, voire burn-out pour certains des plus convaincus. Ces pratiques amènent en tout cas à s’interroger sur la place que la consommation pourrait à l’avenir occuper dans nos sociétés : quels imaginaires et modèles alternatifs mettre en place, quel rôle assigner aux pouvoirs publics et aux entreprises pour que les consommateurs de demain puissent enfin conjuguer au mieux nécessités économiques, préoccupations environnementales et aspirations personnelles ?