La vengeance m'appartient - Marie NDiaye
Marie NDiaye
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La vengeance m'appartient

Collection Blanche
Gallimard
Parution
Me Susane, quarante-deux ans, avocate récemment installée à Bordeaux, reçoit la visite de Gilles Principaux. Elle croit reconnaître en cet homme celui qu’elle a rencontré quand elle avait dix ans, et lui quatorze — mais elle a tout oublié de ce qui s’est réellement passé ce jour-là dans la chambre du jeune garçon. Seule demeure l’évidence éblouissante d’une passion.
Or Gilles Principaux vient voir Me Susane pour qu’elle prenne la défense de sa femme Marlyne, qui a commis un crime atroce… Qui est, en vérité, Gilles Principaux ?

« Marie NDiaye transperce les apparences des existences qui ne sont en réalité que d'épouvantables théâtres, des âmes clouées par des douleurs informulées.
Extrêmement remuant. »
Olivia de Lamberterie, Elle

« La grande Marie NDiaye signe l'événement de la rentrée littéraire ! La vengeance m'appartient met en scène une avocate aux prises avec le doute sur son passé comme son présent, sa famille et ses liens aux autres, la vérité et le mensonge. Une réussite. »
Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles

« Une fiction poignante et plus anxieuse que jamais. »
Nathalie Crom, Télérama

« Marie Ndiaye signe un récit fort qui creuse le rapport des êtres au monde et leur responsabilité morale. Elle bouscule le lecteur de façon magistrale et le fait vaciller jusqu’à ce qu’il parvienne au cœur de la vérité. Du grand art. »
Le Journal du Dimanche

« Un livre après l’autre, l’écrivaine creuse une œuvre parmi les plus lumineuses de la littérature française contemporaine. »
Raphaëlle Leyris, Le Monde des Livres

« Couronnée du prix Goncourt en 2009 pour Trois Femmes puissantes, débusque la cruauté, parfois la monstruosité, qui se loge chez les êtres, le plus souvent dans ce microcosme étouffant par Marie NDiaye, qu’est la famille. Elle poursuit ce patient travail de mise à nu.
Le diamant superbe et tranchant de la rentrée d’hiver. »
Élisabeth Philippe, L’Obs

« Marie NDiaye est une surdouée, à l’écriture d’une implacable exigence. [...] Terribles et passionnants sont ses romans, par cette liberté qu’elle offre au lecteur de porter son texte dans une direction ou l’autre. C’est aux rivages de la bizarrerie et de l’étrangeté, où se révèle en vérité l’âme humaine, qu’elle puise ce qui bouscule et ce qui happe : les silences et la retenue, d’où se dessine en creux son propos, remontant lentement de l’indicible et de son pourrissement.
La vengeance m'appartient est un roman sombre et profond sur la mémoire et l’identité, dans lequel la passion côtoie la mort. »
Fabienne Lemahieu, La Croix

« On retrouve les thèmes chers à l’auteure de Trois femmes puissantes : le délitement progressif des êtres et des couples, les défaillances paternelles, les troubles maternels, la banalisation du mal, les chassés-croisés entre les cultures. C’est intrigant, déconcertant, angoissant, passionnant.
Marianne Payot, L’Express

« La vengeance m’appartient est à la fois un thriller psychologique qui ne vous lâche pas, un récit d’atmosphère où la menace est présente sans être visible - un tour de force - et un grand roman social. »
Mohammed Aïssaoui, Le Figaro Littéraire

« La prolifique Marie NDiaye explore les arcanes du thriller psychologique tout en engageant une réflexion sur les mystères de la mémoire. […] D’une écriture hypnotique, Marie NDiaye s’essaie avec maestria au thriller psychologique. Avec ce récit sous tension, la romancière s’empare du refoulement freudien et des mystères de la mémoire humaine. »
Léonard Desbrières, Le Parisien Week-end

 « Un très grand livre. »
Arnaud Viviant, Le Masque et La Plume

« Marie NDiaye installe un système de lente épouvante. Un échafaudage psychologique absolument extraordinaire. »
Jean-Claude Raspiengeas, Le Masque et La Plume

« Dans cette histoire sombre d’une mère infanticide, comme dans les pièces dont elle est l’auteure, Marie NDiaye fait entendre la voix des femmes, leurs failles et leurs inquiétudes, à sa manière, solaire et tranquille. »
Anne Diatkine, Vogue

« Marie NDiaye, romancière et dramaturge, prix Goncourt 2009 pour Trois femmes puissantes, installe un climat oppressant, glacial, ambigu et mystérieux, qui emprisonne trois personnages de femmes. »
Voici

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