Le ciel par-dessus le toit - Nathacha Appanah
Nathacha Appanah
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Le ciel par-dessus le toit

Collection Blanche
Gallimard
Parution
«Sa mère et sa sœur savent que Loup dort en prison, même si le mot juste c’est maison d’arrêt mais qu’est-ce que ça peut faire les mots justes quand il y a des barreaux aux fenêtres, une porte en métal avec œilleton et toutes ces choses qui ne se trouvent qu’entre les murs. Elles imaginent ce que c’est que de dormir en taule à dix-sept ans mais personne, vraiment, ne peut imaginer les soirs dans ces endroits-là.»

Comme dans le poème de Verlaine auquel le titre fait référence, ce roman griffé de tant d’éclats de noirceur nous transporte pourtant par la grâce de l’écriture de Nathacha Appanah vers une lumière tombée d’un ciel si bleu, si calme, vers cette éternelle douceur qui lie une famille au-delà des drames.

« L’écriture intimiste et lumineuse de Nathacha Appanah interroge l’inéluctabilité de la transmission d’un mal-être d’une génération à l’autre. »
Jean-Christophe Ploquin, La Croix

« Nimbé d'une noirceur et d'une poésie rare, le nouveau roman de Nathacha Appanah est un chant lancinant qui marque durablement. »
Alexandre Fillon, Les Échos Week-end

« L’auteure de Tropique de la violence ouvre une trouée inespérée dans le ciel gris du quotidien. Elle dévoile un monde dans lequel les plus vulnérables ou les plus forts d’entre nous peuvent se hisser, à l’abri des coups de la vie : la poésie. Époustouflant. »
Flavie Philipon, Elle

« C’est magnifique, extraordinairement délicat. »
François Busnel, La Grande Librairie

« Nathacha Appanah ne juge pas, elle regarde, écrit, décrit, panse les plaies, souffle doucement sur les cicatrices. C’est très doux. Très douloureux. Très aimant, aussi.
Il y a dans l’écriture de Nathacha Appanah, qui tient sur un fil, une présence très forte et une mise à distance nécessaire. »
Éric Libiot, L’Express

« Nathacha Appanah allie la précision des faits et celle des portraits, pour naviguer dans les mémoires de chacun. Il y a du conte dans ce roman, de la douceur sur la douleur et toujours la marginalité, dont émane une atmosphère onirique. »
Valérie Marin La Meslée, Le Point

« Avec ce texte magnifique Nathacha Appanah n’a jamais été aussi proche de la poésie qu’elle porte dans son œuvre. De la grande, très grande littérature. »
Mohammed Aïssaoui, Le Figaro Littéraire

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