Le point de Schelling
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Avec Le point de Schelling, David Rochefort poursuit son étude d’une génération contemporaine désorientée.
Son personnage, Nissim, oscille entre inertie et agitation, espoir et désespoir. Écrivain par hasard, menteur par jeu, voyageur par lâcheté, son drame est d’être incapable de choisir. Tout à la fois auteur d’une œuvre qui finit par le dévorer et antihéros de sa propre vie, Nissim cherche par tous les moyens à combler un vide. Avec Alba, il croit avoir trouvé une partenaire de rêverie. Mais celle-ci se révèle insaisissable, fuyante, échappant constamment au rôle qu’il entend lui faire jouer.
Que ce soit en Espagne, où il cohabite avec un étrange sosie de Dalí qui rêve de Ceausescu, ou à Paris, partout Nissim cherche à diriger sa vie comme on mettrait en scène une pièce de théâtre. Sans se faire d’illusions, il écrit pour essayer de sauver son couple, s’enfonce dans le mensonge. Il en est réduit à craindre des ombres, à se confronter aux spectres de son passé. Mais quand on n’arrive plus à croire en rien, l’imagination ne constitue-t-elle pas un dernier refuge?
Son personnage, Nissim, oscille entre inertie et agitation, espoir et désespoir. Écrivain par hasard, menteur par jeu, voyageur par lâcheté, son drame est d’être incapable de choisir. Tout à la fois auteur d’une œuvre qui finit par le dévorer et antihéros de sa propre vie, Nissim cherche par tous les moyens à combler un vide. Avec Alba, il croit avoir trouvé une partenaire de rêverie. Mais celle-ci se révèle insaisissable, fuyante, échappant constamment au rôle qu’il entend lui faire jouer.
Que ce soit en Espagne, où il cohabite avec un étrange sosie de Dalí qui rêve de Ceausescu, ou à Paris, partout Nissim cherche à diriger sa vie comme on mettrait en scène une pièce de théâtre. Sans se faire d’illusions, il écrit pour essayer de sauver son couple, s’enfonce dans le mensonge. Il en est réduit à craindre des ombres, à se confronter aux spectres de son passé. Mais quand on n’arrive plus à croire en rien, l’imagination ne constitue-t-elle pas un dernier refuge?