Mémoires d'Hadrien
Première parution en 1971
Suivi de Carnets de notes de «Mémoires d'Hadrien». Nouvelle édition en 1977
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Marguerite Yourcenar trouva un jour cette phrase, dans la Correspondance de Flaubert :
«Les dieux n’étant plus, et le Christ n’étant pas encore, il y a eu, de Cicéron à Marc Aurèle, un moment unique où l’homme seul a été.»
Et l’auteur de Mémoires d’Hadrien ajoute :
« Une grande partie de ma vie allait se passer à essayer de définir, puis à peindre, cet homme seul et d’ailleurs relié à tout.»
Traduit dans seize langues, salué par la presse du monde entier, Mémoires d’Hadrien n’a jamais cessé, depuis sa publication en 1951, d’entraîner de nouveaux lecteurs vers cet empereur du IIᵉ siècle, «cet homme presque sage» qui fut, en même temps qu’un initiateur des temps nouveaux, l’un des derniers libres esprits de l’Antiquité.
«Les dieux n’étant plus, et le Christ n’étant pas encore, il y a eu, de Cicéron à Marc Aurèle, un moment unique où l’homme seul a été.»
Et l’auteur de Mémoires d’Hadrien ajoute :
« Une grande partie de ma vie allait se passer à essayer de définir, puis à peindre, cet homme seul et d’ailleurs relié à tout.»
Traduit dans seize langues, salué par la presse du monde entier, Mémoires d’Hadrien n’a jamais cessé, depuis sa publication en 1951, d’entraîner de nouveaux lecteurs vers cet empereur du IIᵉ siècle, «cet homme presque sage» qui fut, en même temps qu’un initiateur des temps nouveaux, l’un des derniers libres esprits de l’Antiquité.