La corrida chez le prophète
Première parution en 1949
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Marcel Duhamel
Gallimard
Parution
La fille splendide et douce ne tombe pas automatiquement dans les bras du héros. Un mot laconique comme un couperet de guillotine fait avorter l'histoire d'amour : «À moi le calme, la paix et la tranquillité. Adieu.», écrit-elle. Et lui, toujours romantique, trouve immédiatement l'inspiration dans le désespoir : «Elle ne m'a pas rendu le bracelet, la garce!...»
Dans La corrida chez le prophète, comme dans Quadrille à la morgue ou Les morts s'en foutent, Jonathan Latimer nous traîne dans un monde fait à la mesure de l'humain.
Dans La corrida chez le prophète, comme dans Quadrille à la morgue ou Les morts s'en foutent, Jonathan Latimer nous traîne dans un monde fait à la mesure de l'humain.