Journaux
(1950-1962)
The Journals of Sylvia Plath (1950-1962)
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Christine Savinel. Préface de Christine Savinel, avant-propos de Ted Hughes
Collection Du monde entier
Gallimard
Parution
Pour beaucoup de lecteurs à travers le monde, le poète Sylvia Plath est devenu une figure de culte. Sa destinée exemplaire, son mariage au poète britannique Ted Hughes (figure contestée, gourou pour les uns, démon pour les autres), son suicide en 1963, à l'âge de trente et un ans, les deux enfants qu'elle laissait... tous ces éléments de sa vie contribuèrent à accroître sa renommée.
Les journaux, commencés à dix-huit ans et tenus jusqu'à la veille de sa mort, plongent le lecteur au cœur de la vie intérieure d'une femme qui lutta quotidiennement contre elle-même et n'eut de cesse qu'elle ait transformé en mots la réalité. Exigence tranchante et désir d'absolu ressortent à chaque instant. À côté des impatiences de la collégienne ou des obsessions de l'écrivain paralysé, on trouve des pages inspirées et splendides, qui sont à la source de nombreux poèmes.
Formidable matériau en fusion, ces journaux livrent aussi nombre de passages amusants et de portraits féroces des grandes figures littéraires de l'époque.
Les journaux, commencés à dix-huit ans et tenus jusqu'à la veille de sa mort, plongent le lecteur au cœur de la vie intérieure d'une femme qui lutta quotidiennement contre elle-même et n'eut de cesse qu'elle ait transformé en mots la réalité. Exigence tranchante et désir d'absolu ressortent à chaque instant. À côté des impatiences de la collégienne ou des obsessions de l'écrivain paralysé, on trouve des pages inspirées et splendides, qui sont à la source de nombreux poèmes.
Formidable matériau en fusion, ces journaux livrent aussi nombre de passages amusants et de portraits féroces des grandes figures littéraires de l'époque.