La mer de la fertilité
III
Le temple de l'aube
The Temple of Dawn
Trad. de l'anglais (Japon) par Tanguy Kenec'hdu
Présenté par Tanguy Kenec'hdu
Collection Du monde entier
Gallimard
Parution
Troisième volume de la tétralogie «La mer de la fertilité», Le temple de l'aube est la suite chronologique de Neige de printemps et de Chevaux échappés.
À l'évocation du Japon ancestral dans le premier roman, puis, dans le deuxième, des agitations politico-militaires de l'entre-deux-guerres, succède ici la peinture de la société nouvelle qu'engendre la défaite, suivie de l'occupation américaine.
Le lecteur retrouve les personnages familiers de cette saga japonaise dont le fil conducteur reste le souvenir de Kiyoaki, mort d'amour à la fleur de l'âge, et d'Isao, le jeune conspirateur fanatique, réincarnés en l'énigmatique et voluptueuse princesse siamoise Ying Chan.
Devenu personnage principal, un Honda enrichi et vieillissant poursuit ses étranges pérégrinations, tant réelles que psychologiques.
Parallèlement à la complexité des esprits et des mœurs, Yukio Mishima excelle à décrire le cadre où évoluent ses personnages, décors éblouissants des tropiques, mégalopoles de l’après-guerre non moins que Bénarès, la ville sainte de l’Inde traditionnelle et ses enclos sacrés.
À l'évocation du Japon ancestral dans le premier roman, puis, dans le deuxième, des agitations politico-militaires de l'entre-deux-guerres, succède ici la peinture de la société nouvelle qu'engendre la défaite, suivie de l'occupation américaine.
Le lecteur retrouve les personnages familiers de cette saga japonaise dont le fil conducteur reste le souvenir de Kiyoaki, mort d'amour à la fleur de l'âge, et d'Isao, le jeune conspirateur fanatique, réincarnés en l'énigmatique et voluptueuse princesse siamoise Ying Chan.
Devenu personnage principal, un Honda enrichi et vieillissant poursuit ses étranges pérégrinations, tant réelles que psychologiques.
Parallèlement à la complexité des esprits et des mœurs, Yukio Mishima excelle à décrire le cadre où évoluent ses personnages, décors éblouissants des tropiques, mégalopoles de l’après-guerre non moins que Bénarès, la ville sainte de l’Inde traditionnelle et ses enclos sacrés.