Les fantômes du vieux pays - Nathan Hill
Nathan Hill
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Les fantômes du vieux pays

The Nix
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Mathilde Bach
Collection Du monde entier
Gallimard
Parution
Scandale aux États-Unis : le gouverneur Packer, candidat à la présidentielle, a été agressé en public. Son assaillante est une femme d'âge mûr : Faye Andresen-Anderson. Les médias s’emparent de son histoire et la surnomment Calamity Packer. Seul Samuel Anderson, professeur d’anglais à l’Université de Chicago, passe à côté du fait divers, tout occupé qu’il est à jouer en ligne au Monde d'Elfscape. Pourtant, Calamity Packer n’est autre que sa mère, qui l’a abandonné à l’âge de onze ans. Et voilà que l’éditeur de Samuel, qui lui avait versé une avance rondelette pour un roman qu’il n’a jamais écrit, menace de le poursuivre en justice. En désespoir de cause, le jeune homme lui propose un nouveau projet : un livre révélation sur sa mère qui la réduira en miettes. Samuel ne sait presque rien d’elle ; il se lance donc dans la reconstitution minutieuse de sa vie, qui dévoilera bien des surprises et réveillera son lot de fantômes.
Des émeutes de Chicago en 1968 au New York post-11-Septembre en passant par la Norvège des années quarante et le Midwest des années soixante, Nathan Hill s’empare de l’Amérique d’aujourd’hui et de ses démons et compose avec beaucoup d’humour une fresque aussi ambitieuse que captivante.

«Drôle, ambitieux, ingénieux, le premier roman de l’Américain Nathan Hill est une révélation. À découvrir d’urgence.»
Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles
 
«Pas de rentrée sans jeune prodige américain. Cette année, il s’appelle Nathan Hill et publie un extraordinaire roman sur le pouvoir.»
Olivia de Lamberterie, Elle
 
«Roman d’un tourbillon de la vie, roman du chaos intérieur, Les fantômes du vieux pays sont aussi une fine méditation sur l’identité, la perte, le besoin et la difficulté d’être ensemble dans un monde relativiste et dissolu.»
Estelle Lenartowicz, L’Express

«Une réputation tout sauf usurpée tant le roman de Nathan Hill est enthousiasmant.»
Nathalie Crom, Télérama

«Un premier roman prodigieux, d’une ambition aussi ahurissante que son souffle.»
Raphaëlle Leyris, Le Monde des Livres

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