Mario Vargas Llosa transforme cet événement en une vaste fresque épique où nous verrons se détacher un certain nombre de figures puissantes, comme John Peurifoy, l’ambassadeur de Washington, comme le colonel Carlos Castillo Armas, l’homme qui trahit son pays et son armée, ou comme la ravissante et dangereuse miss Guatemala, l’un des personnages féminins les plus riches, séducteurs et ambigus de l’œuvre du grand romancier péruvien.
Mario Vargas Llosa transforme cet événement en une vaste fresque épique où nous verrons se détacher un certain nombre de figures puissantes, comme John Peurifoy, l’ambassadeur de Washington, comme le colonel Carlos Castillo Armas, l’homme qui trahit son pays et son armée, ou comme la ravissante et dangereuse miss Guatemala, l’un des personnages féminins les plus riches, séducteurs et ambigus de l’œuvre du grand romancier péruvien.
« Très cinématographique, ce retour aux « Temps Sauvages » nous replonge dans l’atmosphère baroque des grands romans du boom latino-américain. À mille lieux des introspections intimistes à la française, cette puissante enquête romancée, superbement traduite, revêt la dimension d’une fable tragique. Magistral. »
Pierre de Gasquet, Les Échos
« Dans le roman qu’il consacre à l’histoire tragique du Guatemala des années 50 à partir du renversement du premier président démocratiquement élu Jacobo Arbenz, Mario Vargas LLosa brosse un puissant portrait de femme : celui d’une Mata Hari guatémaltèque qui ne figure dans aucun des documents officiels déclassifiés par le Pentagone.
Un roman ensorcelant. »
Anna Cabana, Le Journal du Dimanche
« Un roman phénoménal sur les opérations américaines de déstabilisation en Amérique latine, la dictature et les fake news. »
Christophe Ono-dit-Biot, Le Point
« Le prix Nobel de littérature revient sur l’ingérence américaine au Guatemala et sur le coup d’État qui s’en est suivi pour écarter le président Jacobo Árbenz. À travers ce récit politique il poursuit sa réflexion autour de la littérature comme genre unique pour mettre en ordre la réalité naturellement si chaotique. »
Olivia Gesbert, France Culture