Collectif
Traité des nouveaux risques
. Précaution, crise, assurance
Ouvrage collectif d'Olivier Godard, Claude Henry, Patrick Lagadec et d'Erwann Michel-Kerjan
Première édition
Parution
Au-delà des dénonciations de la technologie prométhéenne, s'appuyant sur les acquis de la recherche économique et d'autres disciplines des sciences sociales, cet ouvrage pionnier rassemble les pièces d'un puzzle dispersé. Le motif en est clair : dégager les axes d'une gouvernance des nouveaux risques.
Celle-ci repose sur trois piliers qui organisent le panorama offert : la précaution - de la théorie du risque à celle des régimes politiques dans un univers à la fois non probabiliste et controversé ; la prévention et la gestion de crises - dont les traits saillants sont montrés à partir de trois cas exemplaires : la contamination criminelle d'un produit pharmaceutique ; la destruction du réseau électrique québécois en 1998 ; l'épidémie de la vache folle au Royaume-Uni ; l'assurance des risques à grande échelle (désastres naturels, catastrophes technologiques et terrorisme de masse) qui, avérés ou potentiels, bouleversent l'économie de l'assurance.
Pourquoi un Traité ? La raison en est que si l'on veut éviter le désarroi des responsables, la défiance des citoyens et que ne se creuse le fossé entre décideurs et société, la gouvernance des nouveaux risques doit désormais s'apprendre et s'enseigner.
Celle-ci repose sur trois piliers qui organisent le panorama offert : la précaution - de la théorie du risque à celle des régimes politiques dans un univers à la fois non probabiliste et controversé ; la prévention et la gestion de crises - dont les traits saillants sont montrés à partir de trois cas exemplaires : la contamination criminelle d'un produit pharmaceutique ; la destruction du réseau électrique québécois en 1998 ; l'épidémie de la vache folle au Royaume-Uni ; l'assurance des risques à grande échelle (désastres naturels, catastrophes technologiques et terrorisme de masse) qui, avérés ou potentiels, bouleversent l'économie de l'assurance.
Pourquoi un Traité ? La raison en est que si l'on veut éviter le désarroi des responsables, la défiance des citoyens et que ne se creuse le fossé entre décideurs et société, la gouvernance des nouveaux risques doit désormais s'apprendre et s'enseigner.