Court traité du paysage
Première parution en 1997
Parution
En dépit de la prolifération des publications dont le paysage fait l’objet depuis une quarantaine d’années, nous manquons d’un véritable traité théorique et systématique. Le livre d’Alain Roger comble ce vide.
L’auteur s’attache à exposer, dans une langue accessible au plus large public, les principales questions que soulève, aujourd’hui, la notion, si maltraitée, de «paysage». On trouvera donc ici une histoire du paysage occidental – Campagne, Montagne, Mer –, ainsi qu’une réflexion sur les débats qui divisent actuellement les spécialistes : quels sont les rapports du paysage et de l’environnement? Qu’en est-il de cette mort annoncée du paysage? Quelle politique convient-il de mener dans ce domaine?
L’ouvrage est engagé. Il dit son refus de tous les conservatismes. Il se veut aussi ludique – le paysage peut-il être érotique? – et, surtout, optimiste. L’hommage aux artistes qui, siècle après siècle, ont inventé nos paysages se double d’une confiance fervente en tous ceux qui poursuivront cette aventure esthétique, à condition que nous ne restions pas prisonniers d’une conception frileuse et patrimoniale du paysage.
L’auteur s’attache à exposer, dans une langue accessible au plus large public, les principales questions que soulève, aujourd’hui, la notion, si maltraitée, de «paysage». On trouvera donc ici une histoire du paysage occidental – Campagne, Montagne, Mer –, ainsi qu’une réflexion sur les débats qui divisent actuellement les spécialistes : quels sont les rapports du paysage et de l’environnement? Qu’en est-il de cette mort annoncée du paysage? Quelle politique convient-il de mener dans ce domaine?
L’ouvrage est engagé. Il dit son refus de tous les conservatismes. Il se veut aussi ludique – le paysage peut-il être érotique? – et, surtout, optimiste. L’hommage aux artistes qui, siècle après siècle, ont inventé nos paysages se double d’une confiance fervente en tous ceux qui poursuivront cette aventure esthétique, à condition que nous ne restions pas prisonniers d’une conception frileuse et patrimoniale du paysage.