La Cloche de détresse
The Bell Jar
Note biographique de Lois Ames
Gallimard
Parution
États-Unis. Années 50. Esther Greenwood, dix-neuf ans, montre un certain talent pour l’écriture. Pendant un séjour à New York — remporté lors d’un concours de poésie —, l’héroïne se sent prise d’un mal-être. Le doute s’installe en elle. De retour dans sa ville natale, la jeune femme apprend qu’elle n’a pas été reçue au cours de littérature qu’elle attendait plus que tout. S’ouvre alors l’été où sa vie bascule ; elle se retrouve face à ses craintes : comment réaliser ses ambitions littéraires et se libérer de ce destin de housewife qui l’attend ? Découragée, rongée par de profondes angoisses sur sa condition de femme, obsédée par sa vocation manquée d’avance, Esther ne mange plus, ne dort plus et n’écrit plus. Elle glisse peu à peu dans une grave dépression qui la détache des siens, de son corps et de la vie.
D’une écriture poétique et torturée, Sylvia Plath raconte son combat féministe mené dans un pays de parfaites ménagères, qui éteint volontiers le génie féminin. D’inspiration autobiographique, La cloche de détresse est l’unique roman de l’autrice, qui met fin à ses jours un mois après la publication du livre, à trente et un ans.
D’une écriture poétique et torturée, Sylvia Plath raconte son combat féministe mené dans un pays de parfaites ménagères, qui éteint volontiers le génie féminin. D’inspiration autobiographique, La cloche de détresse est l’unique roman de l’autrice, qui met fin à ses jours un mois après la publication du livre, à trente et un ans.