La Maison verte
La casa verde
Première parution en 1969
Trad. de l'espagnol (Pérou) par Bernard Lesfargues
Gallimard
Parution
À Piura, un village poussiéreux du nord du Pérou, et dans la jungle amazonienne, les destins de don Anselmo, Bonifacia, Fushía, Lalita et la Chunga s’entrecroisent, formant une comédie humaine foisonnante d’aventures.
Dans ce texte atypique d’inspiration autobiographique, il serait vain de privilégier tels personnages ou telles histoires, de les isoler de la symphonie composée par un Vargas Llosa chef d’orchestre. Car le roman se fait ici songe, polyphonie, joue avec les temporalités. Sa structure s’épanouit dans une merveilleuse complexité ; la narration y devenant matière qui se forme et se déforme sans cesse.
La Maison verte, c’est le lupanar de Piura, qui détruit la ville par sa simple existence. Un symbole parmi tant d’autres des maux d’un pays malmené par la violence, la honte, le racisme, les enlèvements. Une vision intime de la décrépitude d’un monde qui s’engloutit lui-même.
Dans ce texte atypique d’inspiration autobiographique, il serait vain de privilégier tels personnages ou telles histoires, de les isoler de la symphonie composée par un Vargas Llosa chef d’orchestre. Car le roman se fait ici songe, polyphonie, joue avec les temporalités. Sa structure s’épanouit dans une merveilleuse complexité ; la narration y devenant matière qui se forme et se déforme sans cesse.
La Maison verte, c’est le lupanar de Piura, qui détruit la ville par sa simple existence. Un symbole parmi tant d’autres des maux d’un pays malmené par la violence, la honte, le racisme, les enlèvements. Une vision intime de la décrépitude d’un monde qui s’engloutit lui-même.