Le Bleu du ciel
Gallimard
Parution
« Dans cette nuit opaque, je m’étais rendu ivre de lumière ; ainsi, de nouveau, Lazare n’était devant moi qu’un oiseau de mauvais augure, un oiseau sale et négligeable. Mes yeux ne se perdaient plus dans les étoiles qui luisaient au-dessus de moi réellement, mais dans le bleu du ciel de midi. »
Henri Troppmann, le narrateur errant et torturé de ce roman achevé en 1935, vit dans l’excès le plus absolu d’une complète autodestruction. Pour l’y accompagner, trois femmes-symboles chavirent et peinent avec lui. Lazare, une juive marxiste qui lutte contre Franco, Dirty, une alcoolique, et Xénie, un substitut de sa femme.
Récit personnel dément, ce court roman annonce la « marée montante du meurtre » qui menace de s’abattre sur l’Europe au sortir des années 1930.
Henri Troppmann, le narrateur errant et torturé de ce roman achevé en 1935, vit dans l’excès le plus absolu d’une complète autodestruction. Pour l’y accompagner, trois femmes-symboles chavirent et peinent avec lui. Lazare, une juive marxiste qui lutte contre Franco, Dirty, une alcoolique, et Xénie, un substitut de sa femme.
Récit personnel dément, ce court roman annonce la « marée montante du meurtre » qui menace de s’abattre sur l’Europe au sortir des années 1930.