Le Libertinage
Première parution en 1924
Gallimard
Parution
« Je ne pense à rien, si ce n’est à l’amour. Ma continuelle distraction dans les domaines de l’esprit, on tend assez à me la tenir en crime, trouve dans ce goût unique et incessant de l’amour sa véritable raison d’être. Il n’y a pour moi pas une idée que l’amour n’éclipse. Tout ce qui s’oppose à l’amour sera anéanti s’il ne tient qu’à moi. »
Dans une grande diversité de formes, Aragon nous invite à visiter son « laboratoire du récit ». Un conte nocturne voisine ainsi avec les confessions d’un bandit anarchiste ; les lettres rêveuses d’une femme à son amant succèdent à une pièce de théâtre fantastique ; crime, dandysme et érotisme s’entremêlent. Libre et transgressif, Aragon marche avec sensualité dans les pas des libertins du XVIIᵉ siècle, loin du « petit désastre du quotidien ».
Dans une grande diversité de formes, Aragon nous invite à visiter son « laboratoire du récit ». Un conte nocturne voisine ainsi avec les confessions d’un bandit anarchiste ; les lettres rêveuses d’une femme à son amant succèdent à une pièce de théâtre fantastique ; crime, dandysme et érotisme s’entremêlent. Libre et transgressif, Aragon marche avec sensualité dans les pas des libertins du XVIIᵉ siècle, loin du « petit désastre du quotidien ».