Pastiches et mélanges
Première parution en 1919
Gallimard
Parution
C’est en 1909 que Proust songe à rassembler les pastiches de Balzac, Flaubert, Michelet, Renan, Sainte-Beuve, Henri de Régnier, Saint-Simon, etc., qui faisaient partie d’une série publiée dans Le Figaro. « Mais non, écrit-il à Fernand Gregh, un volume pour les pastiches, ce serait excessif. »
Cet « exercice ridicule », avait-il dit au moment de cesser d’en écrire, auquel il a, par ailleurs, prétendu s’être livré, « par paresse de faire de la critique littéraire, amusement de faire de la critique littéraire en action » .
Publié en 1919, Pastiches et mélanges rassemble, à côté de ces variations « à la manière de », les grandes préfaces aux ouvrages qu’il a traduits de Ruskin et quelques articles tels Sentiments filiaux d’un parricide et Impressions de route en automobile.
Cet « exercice ridicule », avait-il dit au moment de cesser d’en écrire, auquel il a, par ailleurs, prétendu s’être livré, « par paresse de faire de la critique littéraire, amusement de faire de la critique littéraire en action » .
Publié en 1919, Pastiches et mélanges rassemble, à côté de ces variations « à la manière de », les grandes préfaces aux ouvrages qu’il a traduits de Ruskin et quelques articles tels Sentiments filiaux d’un parricide et Impressions de route en automobile.